L’APPROCHE UNIQUE DE SABRINA RATTÉ FAIT D’ELLE UNE STAR DU MONDE DE L’ART, SELON ERIC ANDREW-GEE

Eric Andrew-Gee a écrit un splendide portrait de Sabrina Ratté dans le Globe and Mail.

Extrait (traduit de l’anglais):

Ratté a peut-être officiellement produit la plus belle chose qui ait jamais existé dans le métavers. À contre-courant d’une culture de la Silicon Valley occupée à construire des univers en ligne aussi stériles qu’axés sur le profit, Ratté injecte du sauvage et du verdoyant dans une technologie par ailleurs terne.

Cette démarche subversive – à la fois un argument sur la frontière floue qui sépare la technologie de ses utilisateurs humains et une sensibilité esthétique saisissante – commence à faire d’elle une star du monde de l’art. En plus de l’exposition à la Gaîté Lyrique l’année dernière, elle a présenté une exposition à Arsenal Contemporary Art à New York l’automne dernier, et en présentera une autre à sa galerie sœur à Montréal cet été. Des expositions et des installations plus modestes ont eu lieu, entre autres, à la merveilleuse UltraSuperNew Gallery de Tokyo et à la Kunstlerhaus Bethanien de Berlin, tandis que son éblouissante œuvre vidéo Contre-espace a été projetée sur l’une des façades de marbre du Musée des beaux-arts de Montréal tous les soirs de l’été dernier. Elle a remporté un prix artistique Sobey en 2020.

Cliquez ici pour lire l’article complet par The Globe and Mail.

Inflorescence I, 2023
Sabrina Ratté, Inflorescence I, 2023